Faisant ta connaissance
dans un soir de pénombre
j'exprimais mes cris sur la piste
Dehors, la guerre,
A l'intérieur, la fête
Mon coeur était solitaire
J'ouvrais mes yeux sur un monde,
Nouveau de sensations et liberté
Je connais seulement ce que je vois
Devant moi, la réalité
Oh, je me souviens de ces larmes
et cris du passé, pourtant pas si loin
De dépendance et de décadence
Le mal intérieur causé par la solitude
Je me retrouve, ici même
A danser, profiter, me remplir
De cet amour de la vie
Connaître l'amitié, le charme
Ta tendresse, ne sachant
Aucunement ou tout cela mènera
Mais bien sûr
Ne profiter que du moment présent
Ce que je sais maintenant mieux faire
Malgré mes rêveries d'enfant
Qui aimerais tant de caresses
Des milliers de possibilités
De chemins nous ouvrant leurs portes
Le meilleur chemin maintenant
N'est que d'en profiter
Les secondes passent une après l'autre
Devoir les vivre au plus profond
Afin de savourer réellement la vie
Telle qu'elle soit, telle que je suis
Peut-être je ne te reverrai, qui sais
Il ne faut pleurer le passé
Sourire devant le futur
Bien avec soi, bien avec l'avenir
dans un soir de pénombre
j'exprimais mes cris sur la piste
Dehors, la guerre,
A l'intérieur, la fête
Mon coeur était solitaire
J'ouvrais mes yeux sur un monde,
Nouveau de sensations et liberté
Je connais seulement ce que je vois
Devant moi, la réalité
Oh, je me souviens de ces larmes
et cris du passé, pourtant pas si loin
De dépendance et de décadence
Le mal intérieur causé par la solitude
Je me retrouve, ici même
A danser, profiter, me remplir
De cet amour de la vie
Connaître l'amitié, le charme
Ta tendresse, ne sachant
Aucunement ou tout cela mènera
Mais bien sûr
Ne profiter que du moment présent
Ce que je sais maintenant mieux faire
Malgré mes rêveries d'enfant
Qui aimerais tant de caresses
Des milliers de possibilités
De chemins nous ouvrant leurs portes
Le meilleur chemin maintenant
N'est que d'en profiter
Les secondes passent une après l'autre
Devoir les vivre au plus profond
Afin de savourer réellement la vie
Telle qu'elle soit, telle que je suis
Peut-être je ne te reverrai, qui sais
Il ne faut pleurer le passé
Sourire devant le futur
Bien avec soi, bien avec l'avenir
-
La porte fermée, je redoutais
Expériences nocives
Expériences nocives
Je ne voulais découvrir que moi
Plusieurs années de déceptions
Se retrouver, soi sans les autres
La conviction de ne rien manquer
J'allais sur ce chemin de béatitude
Un amour que je me donnais
Sans détresse, sans détours
Une rencontre subite, pas de calculs
Toujours fermée, porte débarrée
Je contemplais nos discussions
Sans attentes, seule la vérité
Pouvais réellement me délivrer
Danser près de toi,
Oublier mes faiblesses,
Ne découvrir que cette tendresse
Sur mes gardes mais réceptive
Je découvrais un être remarquable
La porte s'ouvre tranquillement
Quelque chose qui s'apprend
Le temps fait bien les choses
Nul besoin de se faire des idées
J'ai quelques papillons
Virevoltant dans cet estomac rouillé
Par les émotions mal digérées
La porte entre ouverte
Je me sens de plus en plus prête
Cette confiance établie en toi
L'énergie pacifique que tu dégages
Ne donne autre chose qu'un sourire
Une béatitude profonde
Les becs par milliers, croisant nos lèvres
Ne faire autre chose que de se serrer
Les bras entravés de douceur
Je sais certes maintenant,
La pièce, bien éclairée
Par la porte grande ouverte
Qui quelques fois se referme
Par le vent qui chicote
L'éclat de la lumière
Sait me rendre confiante
Avec le temps
Mes blocages perdent
Leur ampleur, leurs besoins
Ce sentiment, inexplicable
De bien-être en ta compagnie
Une sécurité apaisante
Je rêve d'une famille
Épanouie, vivante
Tels que dans ces films
Même si, pourtant
La réalité me rattrape
Rêves de jeune fille
Peut-être non accomplie
Ce que je peux dire
C'est qu'a travers cette porte
Je vois, très bien maintenant
Ta silhouette
Qui, sera peut-être de nouveau
Près de moi bientôt
Plusieurs années de déceptions
Se retrouver, soi sans les autres
La conviction de ne rien manquer
J'allais sur ce chemin de béatitude
Un amour que je me donnais
Sans détresse, sans détours
Une rencontre subite, pas de calculs
Toujours fermée, porte débarrée
Je contemplais nos discussions
Sans attentes, seule la vérité
Pouvais réellement me délivrer
Danser près de toi,
Oublier mes faiblesses,
Ne découvrir que cette tendresse
Sur mes gardes mais réceptive
Je découvrais un être remarquable
La porte s'ouvre tranquillement
Quelque chose qui s'apprend
Le temps fait bien les choses
Nul besoin de se faire des idées
J'ai quelques papillons
Virevoltant dans cet estomac rouillé
Par les émotions mal digérées
La porte entre ouverte
Je me sens de plus en plus prête
Cette confiance établie en toi
L'énergie pacifique que tu dégages
Ne donne autre chose qu'un sourire
Une béatitude profonde
Les becs par milliers, croisant nos lèvres
Ne faire autre chose que de se serrer
Les bras entravés de douceur
Je sais certes maintenant,
La pièce, bien éclairée
Par la porte grande ouverte
Qui quelques fois se referme
Par le vent qui chicote
L'éclat de la lumière
Sait me rendre confiante
Avec le temps
Mes blocages perdent
Leur ampleur, leurs besoins
Ce sentiment, inexplicable
De bien-être en ta compagnie
Une sécurité apaisante
Je rêve d'une famille
Épanouie, vivante
Tels que dans ces films
Même si, pourtant
La réalité me rattrape
Rêves de jeune fille
Peut-être non accomplie
Ce que je peux dire
C'est qu'a travers cette porte
Je vois, très bien maintenant
Ta silhouette
Qui, sera peut-être de nouveau
Près de moi bientôt
-
Mes élans perspicaces de beauté ne serviraient probablement qu'à abîmer le rêve qui surgit toujours en moi. Je ne sais malgré pas s'il sert d'espérer. Courir, toujours courir vers la distinction de cette personne qui répond à mes envies. Quoi ajouter sans demander, ne serait-ce qu'un moment de liberté, ta compagnie près de la mienne qui se colle à mes tripes.
Accepter ta présence comme tes départs, c'est ce qu'il suffit pour le moment, tout autant ta vie qui se déroule différemment de la mienne sans trop te connaître. J'imagine toujours le terrain vaste de la vie comme étant un apprentissage, toi en faisant partie.
Je tiens la poignée de la porte qui mènera peut-être à un chemin quelque part, nous deux, ensemble. Laissez-moi le temps de rêver mais aussi de peut-être décrocher de ces attentes, je ne sais plus. Car je me suis accrochée, probablement trop rapidement certes, spécial comme tu es je ne pourrais faire autrement. Tu me manques, déjà.
-
J'aimerais que tu y sois
Calmer mes ardeurs
Mes douleurs
Enlever ce poids
Constant
Dans ma tête, mon coeur
Tes bras me feraient
Il me semble tant de bien
Ton regard
Posé sur le mien
Étendue sur le lit
Ces draps rouges
De passion
L'air entrait lentement
Le rideau en mouvement
S'harmonisait
Avec notre tranquillité
Je n'avais qu'un espoir
Te garder
Tu manques à mes attentes
Cette boîte de courrier
Vide de tes mots
Refait surgir cette carence
Dépendance, attirance
Sauras-tu revenir
Ou plutôt mieux fuir
Je ne peux qu'attendre
Certes, il y a douleur
Mais l'arbre déraciné
Aux branches larmoyantes
Perd de ses quelques feuilles
J'ai bien peur
Dans ces moments d'attente
De voir ses feuilles
Tomber de plus belle en cadence
Il me reste plus
Que de former
Mon propre printemps
Et de le remplir de bourgeons
De paix, de bonheur
De ma propre joie
En attendant
Calmer mes ardeurs
Mes douleurs
Enlever ce poids
Constant
Dans ma tête, mon coeur
Tes bras me feraient
Il me semble tant de bien
Ton regard
Posé sur le mien
Étendue sur le lit
Ces draps rouges
De passion
L'air entrait lentement
Le rideau en mouvement
S'harmonisait
Avec notre tranquillité
Je n'avais qu'un espoir
Te garder
Tu manques à mes attentes
Cette boîte de courrier
Vide de tes mots
Refait surgir cette carence
Dépendance, attirance
Sauras-tu revenir
Ou plutôt mieux fuir
Je ne peux qu'attendre
Certes, il y a douleur
Mais l'arbre déraciné
Aux branches larmoyantes
Perd de ses quelques feuilles
J'ai bien peur
Dans ces moments d'attente
De voir ses feuilles
Tomber de plus belle en cadence
Il me reste plus
Que de former
Mon propre printemps
Et de le remplir de bourgeons
De paix, de bonheur
De ma propre joie
En attendant
-
J'aurai dansé près de toi
Le détachement se fait difficile
Mon regard semble encore
Posé près de toi
Il me semble qu'hier
Nos rires s'échangeant
La piste de danse vide
Mes mains tremblent toujours
De ton toucher si tendre
Tu reste imprégné en moi
Ne serait-ce que trop
Trop longtemps
Pour la vérité
Longtemps
Pour ma douleur
Tu n'es plus accessible
Comme je l'aurais cru
Tu n'as pas ces papillons
Qui tourmentent mes tripes
Je dois t'oublier
Danser collée
Nos torses s'entremêlant
Les rythmes endiablés
Certes je m'en ennuierai
Maintenant qu'une simple amitié
Devra nous séparer
Le temps se fait long
Mon coeur est lourd
Devoir évacuer cette peine
Le vivre jour après jour
S'accrocher a quelqu'un
Aussi fortement
Être déçue
Très rapidement
Ne serait-ce que
Ta douceur et ta bonté
Ta beauté, ton honnêteté
J'ai mal de te perdre
Sans vraiment t'avoir eu
Je saurai revivre
Et te délaisser
Apprendre
Sans m'oublier.
-
Tu sembles calme.
Je disparais en cette distance
Caractérisant ma solitude
Le mur de nos vies
Qui s'arrête jusqu'ici
Un peu de tendresse
Faisant surgir ma maladresse
Certes je suis troublée
Mais bien qu'habituée
La vie m'apportant ses messages
Voulant me porter naufrage.
Je disparais en cette distance
Caractérisant ma solitude
Le mur de nos vies
Qui s'arrête jusqu'ici
Un peu de tendresse
Faisant surgir ma maladresse
Certes je suis troublée
Mais bien qu'habituée
La vie m'apportant ses messages
Voulant me porter naufrage.
-
Ce n'est que d'une pause que j'ai réellement besoin,
Te revoir chaque semaine ne me cause que désagréments
La piste de danse presque vide de toi je bouge
Regardant de gauche à droite, incapable de vivre seule
Même avec autant d'essais, je n'y arrive pas.
Surtout depuis que je t'ai connu, que nous dansons collés
Cela ajoute à ma douleur qui forcément n'a pas cessé
J'aimerais dire que j'arrête tout maintenant mais impossible
Incapable de te sortir de ma tête aussi rapidement
Je ne peux que cesser de sortir un brin dorénavant...
La piste de danse, avide de toi
Manque de vitalité il me semble
Ton charme disparu de la soirée
Je dois me rendre à l'évidence
Tu ne partages pas mon accoutumance.
Te revoir chaque semaine ne me cause que désagréments
La piste de danse presque vide de toi je bouge
Regardant de gauche à droite, incapable de vivre seule
Même avec autant d'essais, je n'y arrive pas.
Surtout depuis que je t'ai connu, que nous dansons collés
Cela ajoute à ma douleur qui forcément n'a pas cessé
J'aimerais dire que j'arrête tout maintenant mais impossible
Incapable de te sortir de ma tête aussi rapidement
Je ne peux que cesser de sortir un brin dorénavant...
La piste de danse, avide de toi
Manque de vitalité il me semble
Ton charme disparu de la soirée
Je dois me rendre à l'évidence
Tu ne partages pas mon accoutumance.
-
Je ne sais certes si je repartirais à ta conquête, les temps sont lourds et je n'ai plus la tête à y penser, à toi. Rapidement découvert, trop vite apprécié je t'ai découpé de sang froid jusqu'à ce que je te rende incompris. Les mains d'un salaud ne valent plus rien si la piqûre de ta douceur accroche mes veines. J'ai bien beau vouloir tourner la page de chaque chapitre qui me fait souffrir. C'est pas si facile de faire comprendre cette petite fille de ces malheurs que la solitude peut fonder. J'échappe toujours chaque soir aux possibilités que je pourrais m'offrir, la galère de ta photo sur mon mur dont je n'arrive point à enlever l'épingle. L'épingle qui me fend la peau chaque semaine encore quand je te vois, même si un peu moins. Si seulement tu pouvais être malhonnête et indélébile que je puisse te détester au plus profond, tu restes pourtant l'être intrinsèque si charmant. J'ai peine à y croire je parviens mieux à t'oublier lorsque mes pensées vagabondent en tous ces endroits. Je magasine une paix intérieure se construisant à l'extérieur de ton image.
Peut-être te reverrai-je mais j'aurai certes autant mieux compris ce que signifie la perte. Avoir quelque chose est impermanent comme la vie nous enseigne, je possède aussitôt l'amour que je peux bien me procurer.
Cicatrisée je demeure.
-
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