Je met de côté ce besoin imperceptible d'aimer. J'arrache de ma vie ces
envies de vouloir tout créer, posséder, manipuler, contrôler, comme
si tout s'était imaginé dans mes songes depuis que je suis née. Je
détruis mes sentiments résiduels du passé que tu n'as pas su aimer.
Chaque sourire coincé remplacé par un cri de colère m'ayant trop
rapidement blessée. Une partie de moi délaissée par tes
préoccupations sans fondement ni solutions, seulement que des réponses
négatives telles que la manipulation, l'illusion et par dessous tout
la comparaison. Saurais-je dire si les années on su pardonner,
arranger, calmer, me focusser? J'ai trop à dire, tant à oublier, ne
serait-ce qu'un mot d'excuse inutile à entendre mais si doux à
comprendre, les années passent et je me détache de ton énergie
pratiquement sinistre, triste et complice. Sache que je t'aime malgré
tout et j'aime cette beauté de la sérénité que le passé peut fabriquer
de nous.
-
Pendant que les gens sortent, boivent et dorment
Et bien mon insomnie, mon cadran déboussolé, je le transforme
La nuit m'apporte la poésie, la création, la nostalgie
Beauté du calme, de la lune mais aussi de la tragédie
Un thé glacé plus tard je suis assise
Aucun mauvais sentiment en mon emprise
Les gens d'à côté errent leur chagrin dans un bagage
La peine couchée dans leur sac de couchage
Le café avide de gens, tout n'est pas comme New York
One coffee, je prend le taxi and i'll keep it short
Le temps se fait long pour les solitaires
Les coureurs de jupons ou drogues non-somnifères
Une note de piano classique, un ton de voix connu
Chante "Love makes me chill, oh the way that you do"
On se croirait à Chicago, mais pas à New York, no no
Montréal se fait calme, mais je l'aime, bien entendu
Quelques tisanes et muffins plus tard se font servir
La matinée vient à peine de débuter
J'ai toujours cet entrain, rien ne presse de dormir
J'irai me coucher lorsque ce texte sera terminé.
Et bien mon insomnie, mon cadran déboussolé, je le transforme
La nuit m'apporte la poésie, la création, la nostalgie
Beauté du calme, de la lune mais aussi de la tragédie
Un thé glacé plus tard je suis assise
Aucun mauvais sentiment en mon emprise
Les gens d'à côté errent leur chagrin dans un bagage
La peine couchée dans leur sac de couchage
Le café avide de gens, tout n'est pas comme New York
One coffee, je prend le taxi and i'll keep it short
Le temps se fait long pour les solitaires
Les coureurs de jupons ou drogues non-somnifères
Une note de piano classique, un ton de voix connu
Chante "Love makes me chill, oh the way that you do"
On se croirait à Chicago, mais pas à New York, no no
Montréal se fait calme, mais je l'aime, bien entendu
Quelques tisanes et muffins plus tard se font servir
La matinée vient à peine de débuter
J'ai toujours cet entrain, rien ne presse de dormir
J'irai me coucher lorsque ce texte sera terminé.
-
Serait-ce le manque d'égard, de légitime attention sans porter un seul regard?
L'appel de ta distance me rendant trop consciente de mon mal en patience?
Serait-ce trop de souvenirs, moi nostalgique qui empire cette chose synonyme de souffrir?
Ou encore les pages remplies de ta présence dorénavant blanchies de ton absence?
Éternel questionnement pour un attachement peu cohérent, maintenant si différent.
Serait-ce ton visage se tournant vers un nouveau chemin, un nouveau destin?
Nos routes séparées par l'arrêt de notre amour, la cessation de notre amitié?
Ou encore l'épave de mes songes s’affaissant au plus profond des néants...?
-
Lorsque les émotions mènent à sa perte et que les tourments s'emparent naïvement de ma peau,
Que ton ego s'entête à désirer le voir a nouveau,
C'est son passage qui abîme la légèreté de mon regard
convoitant son malaise se tournant au couloir
Je t'aime encore certes, même si tout dans ma tête
s’emmêle à ne pas comprendre toutes ces foutues circonstances
Pourtant pas un frère ou un amoureux
Mais mon meilleur ami, qui ne l'est plus depuis peu
La vie m'envoie ce départ comme un choc sinistre
Ce n'est pas une mort mais tout aussi triste.
Ta décision est prise et je ne suis plus ce qui convient
Ça a été un dernier salut de la main
Un dernier malaise et une froideur constante
Maintenant, il faut que j'accepte que tu as pris tes distances.
Que ton ego s'entête à désirer le voir a nouveau,
C'est son passage qui abîme la légèreté de mon regard
convoitant son malaise se tournant au couloir
Je t'aime encore certes, même si tout dans ma tête
s’emmêle à ne pas comprendre toutes ces foutues circonstances
Pourtant pas un frère ou un amoureux
Mais mon meilleur ami, qui ne l'est plus depuis peu
La vie m'envoie ce départ comme un choc sinistre
Ce n'est pas une mort mais tout aussi triste.
Ta décision est prise et je ne suis plus ce qui convient
Ça a été un dernier salut de la main
Un dernier malaise et une froideur constante
Maintenant, il faut que j'accepte que tu as pris tes distances.
-
Je m'épuise vers ce qui est aucunement disponible
Sachant définitivement la douleur que l'on m'implore
L'attente infligée de tes mots distants me consterne
N'ignorant pas ce que j'aurais réellement loupé
Noirceur des songes et de ta chevelure
Tout n'est que dépendance, définitivement
Causé par mon manque, cette carence
Ne me fait plus de tort que de bien, c'est certain
Pourquoi si difficile est-ce de se concentrer
Sur soi, sur ce qui importe
Et non sur tout ce qui n'est qu'illusoire
Sur tout ce mal qui m'emporte et me transporte
Je te salue de la main et je crois au destin
Lorsque arrivera le moment je saurai
Je ne suis pas prête, rien n'est certain
Je laisse les choses, le temps, tout de côté.
Sachant définitivement la douleur que l'on m'implore
L'attente infligée de tes mots distants me consterne
N'ignorant pas ce que j'aurais réellement loupé
Noirceur des songes et de ta chevelure
Tout n'est que dépendance, définitivement
Causé par mon manque, cette carence
Ne me fait plus de tort que de bien, c'est certain
Pourquoi si difficile est-ce de se concentrer
Sur soi, sur ce qui importe
Et non sur tout ce qui n'est qu'illusoire
Sur tout ce mal qui m'emporte et me transporte
Je te salue de la main et je crois au destin
Lorsque arrivera le moment je saurai
Je ne suis pas prête, rien n'est certain
Je laisse les choses, le temps, tout de côté.
-
Je te découvre, tout est mystère
Distante, regard porté vers toi
Tes yeux attirent mon regard
Caché par cette gêne assumée
Douceur raffinée
Tendresse élégante
Aux cotés androgynes rafinés
Tentant de faire le pas
J'avance, lentement vers l'idée
Qu'il est incertain, voir impossible
De même t'approcher
Je caresse l'idée, tout en dansant
Tes yeux croisent les miens
Tout autant cachés par cette gêne.
La nuit s'achève, les dialogues se mêlent
Je cajole enfin ta parole
Définie par ces traits en douceur
Milles et un regard vers nous
Mon monde n'appartient qu'à toi
Enveloppés dans cette dimension
D'harmonie étrangère rassurante.
Je m'endors, près de toi
Ta chevelure embrassant le rythme
Les draps attirant nos êtres enlacés.
Je rêve avec toi par la suite
Vers ce monde animal aux milles couleurs
Un monde tropical de sens et détaillé
Ou j'admire tes élans de beauté.
Un départ vers une aventure
Qui ne nous mènera je ne sais guère
Mais vers, oui je sais une route étrangère
Multipliée de plaisirs cachés
Avec toi, douceur raffinée.
Distante, regard porté vers toi
Tes yeux attirent mon regard
Caché par cette gêne assumée
Douceur raffinée
Tendresse élégante
Aux cotés androgynes rafinés
Tentant de faire le pas
J'avance, lentement vers l'idée
Qu'il est incertain, voir impossible
De même t'approcher
Je caresse l'idée, tout en dansant
Tes yeux croisent les miens
Tout autant cachés par cette gêne.
La nuit s'achève, les dialogues se mêlent
Je cajole enfin ta parole
Définie par ces traits en douceur
Milles et un regard vers nous
Mon monde n'appartient qu'à toi
Enveloppés dans cette dimension
D'harmonie étrangère rassurante.
Je m'endors, près de toi
Ta chevelure embrassant le rythme
Les draps attirant nos êtres enlacés.
Je rêve avec toi par la suite
Vers ce monde animal aux milles couleurs
Un monde tropical de sens et détaillé
Ou j'admire tes élans de beauté.
Un départ vers une aventure
Qui ne nous mènera je ne sais guère
Mais vers, oui je sais une route étrangère
Multipliée de plaisirs cachés
Avec toi, douceur raffinée.
-
J'avoue qu'encore j'ai peur de demain, peur du lendemain quoique seul le temps nous montrera le chemin. Douce étoile. Certainement aucune idée si tu seras près de moi lors de mon réveil étant donné l'incertitude de chaque seconde, caresser ton visage n'est peut-être qu'une simple illusion que la vie m'envoie, nous deux sur ce nuage de béatitude, complètement ébahie par cette beauté intemporelle. Ta longue chevelure traînant sur mon torse nous deux enlacés, tes yeux en amande fixent les miens pendant un long moment avant que ce sourire apparaisse sur ton visage doux comme le miel, la lumière reflétant l'arc de chaque pupille délicate, j'arrête soudainement de me questionner sur ce qui est l'amour ou pas car j'ai la réponse, vibrations énergétiques en moi tourbillonnant tel le feu en cadence. Je ne suis plus effrayée par le passé car le présent répond de lui-même, toute cette vérité embrassant nos moments, tel un amas d'étoiles dans un ciel sombre.
-
La magie d'un soir, tant de gêne et d'espoir. Se cache à l'horizon de
mes rêves la chance d'échanger, avec toi, paroles discrètes. Caresser
chacune des minutes de la nuit, les autres dansant autour d'une folie
décadente tandis qu'un brouillard enveloppe ton regard fixé au mien.
Fuir cette peur et danser la valse romantique. Ma vie transformée sous
toutes formes est délicate telle la dentelle flottant sous la brise
légère du printemps, le soleil reflétant sur mon visage. Chaque réveil
près de toi, délice corporel et énergétique, me fait sourire, vivre, ton
regard qui entre dans le mien sans s'arrêter, pupille dilatée de
plaisir et d'harmonie, j'avais peur mais maintenant je n'ai plus, tu me
manques quand tu es si loin pendant quelques jours, mon lit avide de ta
douceur élancée, chevelure obscure s'harmonisant avec l'écarlate de mes
cheveux, mon coeur rougissant à ta parole si divinatoire et amoureuse,
je le sais et répète sans aucun doute, la rencontre j'ai fait, d'un
ange...
-
La peur
Ressentie à tout mouvement
Tes caresses
Éparpillée parmi les tracas
Ressaisissons-nous
Oublions, pardonnons
Renaitre dans l'amour présent
Donner à sa vie le meilleur
De chaque moment passé
Désolation des actes
Culpabilité profonde
Mettre de côté les attaques
L'ego redescend
De nouveau près de toi
Le vrai
Réalité non-confondue
Je t'aime,
tel quel.
Ressentie à tout mouvement
Tes caresses
Éparpillée parmi les tracas
Ressaisissons-nous
Oublions, pardonnons
Renaitre dans l'amour présent
Donner à sa vie le meilleur
De chaque moment passé
Désolation des actes
Culpabilité profonde
Mettre de côté les attaques
L'ego redescend
De nouveau près de toi
Le vrai
Réalité non-confondue
Je t'aime,
tel quel.
-
Une souffrance dont certains se balancent, le cœur en miettes je
partirais en cadence, la peur d'être et le mal d'oublier, sans cesse en
contrepartie la douleur du passé. Pourrais-je te regarder, toi, aux
cheveux écarlates? Te prendre dans tes bras et te dire comme tu es
aimée? Prendre ta main et partir en voyage, ne serait-ce que d'admirer
de beaux paysages, un instant de répit aussi bien mérité dans l'angoisse
de toute ma vie future ou passée. Viens, allons admirer, photographier
ou danser, peu importe mais vivre cette vie que toi et moi n'avons
jamais pu profiter! Cher enfant intérieur, la vie est nôtre, notre
destinée, voilà la vraie lancée.
-
J'ai compris.
j'ai compris que seuls les mots peuvent me sauver
lorsque personne ne vient au secours de mes pensées
chaque heure interminable doit se morfondre dans moi
et personne d'autre.
J'ai saisi.
Que le monde est agréable lorsqu'on y met du sien
Ses émotions acceptées en signe, envers soi, de soutien.
Je me retiens.
De tout briser, tout me semble interminable
Ou un éternel recommencement
Chaque pensée se fait illusoire.
j'ai compris que seuls les mots peuvent me sauver
lorsque personne ne vient au secours de mes pensées
chaque heure interminable doit se morfondre dans moi
et personne d'autre.
J'ai saisi.
Que le monde est agréable lorsqu'on y met du sien
Ses émotions acceptées en signe, envers soi, de soutien.
Je me retiens.
De tout briser, tout me semble interminable
Ou un éternel recommencement
Chaque pensée se fait illusoire.
-
La solitude m'a envahie et ne m'abandonne pas. Le sentiment d'être
trahie en ce vendredi m'a effleurée et importunée. J'aimerais que tu me
laisses tranquille mais en même temps, aime-moi, souffre avec moi.
Pourquoi suis-je seule lorsque plusieurs veulent m'embrasser? Pourquoi
souffrir tant quand ils veulent autant m'accompagner? Pour être dans mon
lit, certes, ne partager que mes effleurements inédits. Pendant que je
me noie de fatigue sur cette table, je n'écoute que vos faux rires,
envahis de solitude accablante. Vous ne vous aimez peu, je vous le dis,
ne vivant qu'à moitié chacune de vos petites libertés. Ouaip, j'ai ce
sentiment. De colère autant que de tristesse, de froideur et de
maladresse! Ô souffrance, comme tu m'aimes, comme tu me colles à la peau
depuis si longtemps. Comme j'aime te regarder telle une vipère, une
mauvaise mère! Si tu savais comme je t'aime, car tu me fais haïr, tu me
fais grandir! Tu me fais pleurer, tu me fais glander. Toujours noyée de
fatigue sur cette table, je suis là à cette fête, un vendredi matinal.
L'aube se lève déjà, les temps sont difficiles. J'aimerais bien avoir le
coeur au plaisir et me joindre à vos plaisirs de vampires, mais la
seule chose que je puisse faire à ce moment même est de contempler mes
pensées, mes souvenirs. Poutine et jus de raisin, voilà mon plaisir de
clandestin. Je quitte votre table, la marche sera courte jusqu'à ma
demeure. Cela dit, la musique accompagnant mes oreilles altère mon
humeur. Tous les murs de la ruelle sont pavés de dessins expressifs
dérangeants pour plusieurs. Le soleil levant donne un aperçu torride au
passage odorant de la ville. Cette mélodie extériorise bien la tranquillité des passants. Je souffrais certes il y a peu, ah! Que de
misère. J'ai quitté cet endroit du tonnerre et la ruelle me parle plus,
même. L'expression éclatante de chaque lettre vaporisée, la violence
apportée, au moins ces murs me racontent la vérité. La rue pavée est
avide de gens et d'espace, le calme règne. J'aime cette solitude, ah,
c'est soudain. Chacun des lampadaires illumine quelques unes des briques
du pavé. J'entre dans le parc dépeuplé, la mélancolie régnant entre
chaque arbre me fait du bien. Je marche, droite, vers ma demeure. Mais
avant, je me laisse le droit de profiter de ces petits moments de
nature, de bonheur.
-
Je transgresse dans mes promesses, un peu plus chaque fois comme si je n'avais rien vécu. Les paroles sortent de mon être en cadence, transpirant en abondance d'être plus encore celle que je voudrais réellement être... J'ai faim. Ridiculise-moi car ils l'ont fait auparavant, je t'en prie sache que je ne t'ai pas réellement écouté... Si au moins si c'était vrai. Le passé me condamne. Dès que tu pars je suis ensevelie! Tu me rattrapes et me fais l'entrejambe, je ne peux plus danser, laisse-moi te quitter... Laisse-moi prendre mon souffle et définir ce qu'est réellement la vérité... Pogne mes tripes et joue avec, tu sais si bien t'en servir et me déconcerter. Lasse-toi. De moi et des autres, car je suis ta proie! Si facile, si nette... Trop facile d'accès.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire