samedi 20 décembre 2014
Paraître, sans égal, à la limite d’un jour nouveau. J’ai soif d’entendre une nouvelle palpitation de mots! La seule chose qui m’est accessible: le souffle de naître. À chaque pas, plus grandiose que le ciel sous la lune démesurée. C’est comme agripper sa proie, l’étrangler ,ce qui ne se ferait pas à l’habitude. Décortiquer le traître, rectifier l’angle de chasse. Le voile de ma robe, lui, envolé dans l’aube. Reflet d’une symétrie au ciel des ombres. Boucles de cheveux, larmes à la bouteille, étancher une soif inexistante. Parce que tout y est, même le vide que je n’ai pas reconnu!
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